• 25 mai


    J'ai mal... dans ma chair et dans mes os. Morcelée. Epuisée.
    Et malgré tout, un espoir fou, entêté. Celui d'une ombre de certitude, d'une trace de vie, d'un rien, une poussière qui me dirait que le monde existe encore. 

    Et je voudrais pouvoir pleurer, ne fut-ce que pleurer... A défaut de pouvoir abattre cette muraille de mes mains et de mes ongles, jusqu'au sang.

    Mais je reste là, à guetter l'improbable. Ce soir comme tous les soirs.


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :