• Attendre. Patienter. Rêver...
    Le temps paraît long malgré tout.

    Surtout là près du feu, où brille encore l'éclat de ton regard.


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  • Ben voilà... Je t'avais dit : "on y va, on tape, on fête, on rentre... 5 jours max et sans bobos !". Reste à fêter et rentrer, c'était trop facile, prévisible comme d'hab'. Et comme d'hab' les "têtes" n'étaient pas là, juste une poignée de trublions pour lesquels une poignée d'abrutis font dépenser des fortunes et couler le sang. Pas la moindre stratégie, juste des grandes gueules qui trouvent glorieux de finir au fossé. Non vraiment, ce monde n'est pas le mien. Et sans regrets !
    Pour achever la broderie, comme d'hab' aussi... Tous ces bouffons qui trouvent normal de ne rien respecter, de bricoler les textes et les lois comme ça les arrange. Et au bout du compte, rien... Forcément. A tous les niveaux, toujours et partout. Dans vingt ans, ils y seront encore avec leurs beaux discours et leur "c'est pas moi, c'est lui". Pire même, tous ces gens qui s'arrogent des droits qu'ils n'ont pas et qui s'immiscent dans la vie de tous. Le principe même de la tyrannie. Ce pays est un ramassis de nains tyrans qui campent parmi les cochons et les légumes, certainement pas une terre de droit. Quant à l'honneur...

    Bref ! J'avais envie de leur taper dessus, c'était tout-à-fait personnel. C'est fait, c'est tout, merci pour la balade et je vais voir ailleurs si j'y suis. Belle, la vie !

    Le guerrier gagne la bataille, le stratège gagne avant de combattre.
    Et la plus noble des guerres est celle qu'on ne laisse pas advenir.

    Et même : Vaincre sans bataille est la pLus grande des victoires... *sourire et... ben oui, simple*


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  • Pfouii ! Quelle soirée ! Quelle gueule de bois aussi ! Pas secouer s'iouplémerci... Un bol de lait avant tout ! Et puis rassembler mes souvenirs si j'y arrive. La raison de ce sourire, là d'accord, c'est pas une question...
    Non, il y a autre chose. Une impression bizarre. Cette visite impromptue... Ca ne pouvait pas être un accident. Alors quoi ? Si au moins, j'arrivais à le prendre pour un imbécile... Mais ce n'est pas le cas, du tout ! Les manoeuvres de certains sont limpides depuis des mois, du moins quand on veut bien y faire attention, quand on est impliqué... Pas comme moi qui avais décroché, qui ne faisait plus que "fonctionner" depuis des semaines avant de m'absenter définitivement. Il m'a pourtant suffit de trois jours pour démêler le principal dès que j'y ai remis le nez. J'avais le recul, c'est vrai mais quand même...
    Pauvres Helvètes, pauvre pays... Comme beaucoup, je suis arrivée ici avec tant des rêves. Que sont-ils devenus ? Et pourquoi ? Et surtout... Par qui ? Pour servir quel minable intérêt ? Si au moins, j'arrivais à mettre cette dernière proposition pleinement au pluriel... Des tireurs de marrons, des opportunistes de tous poils qui font écran, j'en vois plein mais ça ne suffit pas à masquer un nom qui ressort sans cesse, au-delà de toute logique.

    Bah ! Il est temps de penser à remplir les coffres maintenant, et de fermer tout ce qui doit l'être. Le reste disparaîtra de lui-même. Avec un peu de chance, ce ne sera même plus un mauvais souvenir dans quelques temps.


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  • Dehors, la terre s'engourdit... C'est un calme irréel qui règne. L'air est piquant. La vie s'endort doucement.
    J'aime me calfeutrer. J'ai accroché les tentures et posé une nouvelle lampe. C'est là, que je vais refaire mes forces pendant quelques jours. Et puis je préparerai de nouvelles provisions car les semaines à venir seront longues et chargées. J'en profiterai aussi pour terminer le travail avant les Lumières. Il est temps...


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  • Ce matin, une mésange malicieuse est venue jouer sur le rebord de la fenêtre. Elle dansait un ballet étrange... J'aimerais connaître mieux le langage des oiseaux, je m'y attelerai un jour sans doute. Pour l'instant, d'autres choses réclament mon attention. Il faut que je chasse ces tensions qui me disent que l'avenir ne ressemble pas à ce que je souhaite. Je ne suis qu'un fétu, je ne veux plus mener quoique ce soit. Juste me préserver de la monstruosité qui approche.
    Répandre un peu de douceur sur les plaies et de joie dans les coeurs aussi... Je veux des rires et de la paix, je veux de la chaleur et de l'amitié. Je veux cotoyer des esprits libres et sereins, courageux et lucides.

    Je vais laisser la porte de la salle déverrouillée, des victuailles, des friandises et des boissons revigorantes sur les trétaux. Il y a des bancs et des coussins en suffisance. Qu'on ait envie de papoter, de philosopher ou de débattre, de jouer ou d'apprendre les nouvelles découvertes par-delà les mers, de partager de l'émerveillement face à ce monde qui change tant, je veux que chacun s'y sente tranquille.

    Je suis consciente aussi que certains risquent de tout saccager. De souiller pour le plaisir de souiller. Tant pis ! Il n'y a qu'eux qui seront rabaissés par de tels gestes. Personne ne les aura poussés à démontrer leur bassesse.



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