• Ambiance zen, parfumée de bougies...éclairant mes pensées...
    Horloge soudainement silencieuse.
    Le temps s'arrête et...
    Je suis là, seule...
    Entre les paperasseries, la musique et...quelques souvenirs.
    Faisant le point régulièrement...comme j'ai l'habitude de le faire désormais.
    Une habitude bénéfique qui me/nous permet d'avancer et d'aller toujours plus haut.
    La remise en question...

    Une femme d'aujourd'hui qui, contre les préjugés, marche la tête relevée...
    Une femme d'aujourd'hui...qui n'a rien laissé tomber, rien laissé passer.
    Une femme d'aujourd'hui dont tu ignores l'existence...
    Celle qui aurait pû te plaire ou celle que tu souhaiterais (re)connaître.

    Une femme d'hier, née aujourd'hui pour mieux vivre demain.

    Qu'as-tu appris de moi?
    Que sais-tu de moi?
    Que découvriras-tu de moi?

    Rien...
    Si tu en restes là.

    Et dans cette ambiance qui me rappelle che non siamo soli...
    Nos vies continuent leur bout de chemin...parallèlement, vivant peut-être la même destinée...

    No, non siamo soli à la recherche d'un monde réel...de quelques rares bonnes intentions et de vraies valeurs si souvent oubliées.
    No, non siamo soli à penser à ce que la Vie nous réserve...
    No, non siamo soli...dans ce tourbillon de sentiments...

    La poire entière, pas la demi...sachant que l'abus nuit en tout...
    Un bruit qui court...peut-être?

    Tant de belles paroles, sans mise en pratique...
    Paraître au lieu d'être, c'est tellement plus facile...

    Comme on en fait des échos lorsque l'on juge quelqu'un sans vraiment la/le connaître...
    Echos-ho-ho-ho...

    " Et n'allez plus sur internet, y'a que des gens ainsi ", disent les vipères.
    Ces personnes qui croient conseiller les autres, un peu " psy " sur les bords ( laissez-moi rire ;-} ) et que vous retrouvez sur plein plein plein d'autres sites...ventant leur " bon coeur ", exposant leur vie privée jusqu'au moindre détail...sans conscience " professionnelle ".
    Tiens, un écureuil!
    Des personnes destructrices...envieuses qui devraient tout simplement consulter.

    Aurais-tu enfin ouvert les yeux?
    Les miens sont toujours en éveil..souriant plus que jamais à la Vie et à tous ces semeurs qui récoltent.
    Les réponses viennent à moi sans que je ne me pose de questions...
    Et sais-tu qu'il...

    Qu'il ne faut jamais rien prendre pour acquis parce que tôt ou tard...
    La roue tourne.
    Et que tout se barre...
    Barre souvent placée très haute à se compliquer la Vie...
    Et!!!
    Du bout des doigts je frôle
    La vérité donc je suis à mi-chemin
    Et la roue continue à tourner...

    Vipère disait: tout vient à point à qui sait attendre.
    Il y a bien lonnnnngtemps que je n'attends plus rien...je vis!
    Et puis à quoi bon attendre?
    Je ne vis pas d'illusions contrairement à beaucoup.
    Surtout lorsqu'elles sont guidées par des mauvaises influences.

    De ce silence absurde où ma présence n'était que richesse...la manipulation n'a fait que te détruire...
    ET...
    C'est maintenant que tu regrettes? Fallait s'y attendre.
    Mais fallait aussi pouvoir ( me ) décrypter bien avant...
    NON!
    Je ne regrette rien...
    Ni le bien qu'on m'a fait
    Ni le mal...
    Tout ça m'est bien égal!

    Je suis ici à m'exposer sous un profil qui ne se reproche rien, toujours le même profil...avec quelques modifications de bien être tout de même ;-}, même adresse, même numéro...
    J'offre tout simplement la chance de me retrouver...
    Quelle ID? ;-}

    Non, je ne regrette rien.
    Même pas le net qui m'a fait découvrir tant de choses...

    J'écris sans savoir à qui je m'adresse exactement mais c'est ce que je ressens en ce moment précis...

    Une main tendue?
    Le coeur qui parle?
    Qui sait...

    Tic tac...l'horloge repart de plus belle

    (Perlina)


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  • Nuit noire, les bêtes dorment.
    Sur la table, éclairé du feu mourant, un simple caillou.

    Dépouillement, silence, éternité...
    Evidence.


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  • Au fond, il y a un p'tit côté rassurant à cette permanence...
    Flashback, avril 2007


    Down. Fatiguée, très. Fatiguée de marcher seule. Fatiguée des vampires, des manipulateurs à trois sous, des égoïstes, des menteurs. Et aussi des gamins, des irresponsables et des lâches.

    Je me barricade. Je mords si on m'approche. Je m'enferme en rêvant de sécurité, de tendresse en liberté. Je sais que j'en ai, beaucoup, trop. Elle ne demande qu'à rayonner. Mais certainement pas à n'importe quel prix pour n'importe qui. Parfois une bouffée m'échappe, aussitôt volée, trahie, salie.

    Allez... J'ajoute les raz-la-moquette, les mononeuronés et les allumés de tous poils au panier, ça fera le compte. Et la vie continue. Peut-être un jour quelqu'un assez fort pour ne pas craindre. Quelqu'un assez fier pour ne pas mendier. Quelqu'un assez doux pour apprivoiser. Un jour... Ou pas. Ce n'est peut-être pas très important après tout.

    ...
    Ben quoi ? Ca ne vous arrive jamais un passage à vide ? Un moment où les seuls choix sensés vous semblent être faire sauter la planète ou disparaître ? Moi si... Rare mais ça m'arrive. Ca ne dure jamais heureusement. Et p'tet même que ça pourrait durer encore moins longtemps si... Mais passons, il y a plus intéressant.

    Alors quoi de beau au menu du jour ? Les paperasses sont liquidées (les emm... avec), un rayon de soleil, les kids ont réussi à ne pas encore (trop) se disputer, le chien roupille, les chats sont en vadrouille... Tout bien ! La suite maintenant... Ho ben, humeur un peu sorcière, envie de tripatouiller dans mes chaudrons. Quelques huiles de soin à préparer (nan ! je ne donne pas mes recettes comme ça), un gâteau pour embaumer la maison, un stock de confiture à faire... Et puis, parce qu'on ne se refait pas, un peu de chimie appliquée...


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  • Je me suis éveillée ce matin d'une longue nuit... La colère s'était tue depuis longtemps, épuisée de sa propre essence.
    Et l'enfant était toujours là, sous l'arbre. Que faisait-il à cette heure ? Arrachait-il les pétales d'une fleur à peine née ? Maculait-il de boue les ailes d'un papillon doré ? Le chat qu'il avait tenté d'écorcher avait pu s'enfuir, lui... Mais...

    Et pourtant j'oubliai mes yeux pour le regarder encore, vraiment, comme lors d'une nuit noire lorsque la vue ne peut plus rien. Et je vis ce que la douleur des griffures provoquées par ses ronces m'avait fait oublier : qu'au fond du jardin de haine qu'il entretenait avec tant de soin, se cachait la muraille... La muraille de terreur d'un enfant abandonné. La muraille de celui qui s'est juré un jour qu'il valait mieux ne faire confiance à personne, et surtout pas à soi-même. Et le jardin qu'il soignait si passionnément prenait peu à peu l'allure de ses peurs. Simplement.

    J'aurais voulu... Mais quoi ? Une pioche ? Hurler ? Frapper ? Non...
    Juste pleurer peut-être...

    Impuissance.


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  • Plus que la mort, c'est l'absence, l'indifférence, l'ennui même, qui use et détruit.
    La route encore, le but peut-être... Enfin... Ai-je rêvé seulement ?
    Ici, tout n'est que vide. Isolement, même pas solitude. Et gomme l'existence, l'envie...

    Errance.


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